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Commentaires

Olivier de Galzain

2 poids, 2 mesures

Tout comme vous, il m’arrive de subir cette désinformation que nous imposent les distributeurs et désormais les commerçants de détail, en nous refusant ce petit élément essentiel au transport de nos achats : le sac plastique. Le pire est cette phrase savamment apprise qui vous est débitée si vous faites une remarque : « mais Monsieur, les sacs plastique ce n’est pas écologique, mais si vous voulez un sac nous vous proposons des sacs biodégradables mais … c’est payant ». Et les sacs papier ?, m’arrive-t-il de répondre, « ah non, ça détruit la forêt » !

Billevesées ! Comment peut-on égrener de telles généralités qui sont autant de contre vérités ? Que deviendraient-ils ceux -la même qui pensent détruire la forêt en l’exploitant si, privés de bois, il vivaient exclusivement dans un environnement de plastic et de béton?

Quelle ne fut pas ma surprise il y a quelques jours alors que, prenant le train, j’ai découvert que notre compagnie nationale de chemins de fer mettait à la disposition de ses clients des petits sacs en papier intitulés « SAC PROPRETE, un geste simple pour un voyage plus agréable » et sur lesquels le logo biodégradable est imprimé en grand. Ceci sans qu’il en coûte 1 centime de plus au voyageur.

Pourquoi la SNCF est-elle capable de proposer, sans surcoût, à ses clients des sacs biodégradables issus de la filière bois et pas la distribution et pourquoi cette dernière nous fait-elle payer ses sacs plastique biodégradables ?

Il y a deux poids deux mesures, les uns ont compris qu’il était possible d’allier protection de l’environnement et défense du consommateur, les autres non et ceci malgré leurs fréquentes déclarations d’intention.

Quoi qu’il en soit, le dénominateur commun à ces deux expériences, est celui de l’intérêt porté au biodégradable et donc à le recours à l’agriculture et à la forêt et çà c’est bon pour tout le monde.

Olivier de Galzain

Hyacinthe BRISSET

Le sac biodégradable payant réutilisable à souhait serait la solution de bon sens
Mais hélas peu satisfaisante pour les industriels qui preferent bien sur le tout jettable

ce nouveau blog m'éffraie

HYACINTHE
paysan dans la Manche

Clara Léveillé

Le sac biodégradable peut-il répondre à mes préoccupations écologiques ?

Devinant à quelle agriculture nous le devons, dans quelles conditions les plantes sont cultivées, je ne suis pas convaincue que ces sacs répondent à mes attentes.

On pourra continuer à se réjouir de voir des sacs plastiques jetables voler dans la campagne, dans les villes, décorer les arbres (c'est Noël toute l'année) ou à flotter sur les eaux, on se consolera en se rappelant qu'ils sont biodégradables.
Ils ne seraient donc pas gênants pour notre environnement, dans lequel ils ont bien peu de chances de trouver les conditions nécessaires à leur "biodégradation".

J'attends de voir quelles autres avancées vous allez nous proposer pour que les générations futures aient des chances de respirer gratuitement et de boire l'eau du robinet sans la payer chèrement.

Clara

Bruno SCHMITT

Je me rapel des années 90 où tous ces produits que vous citez (sac plastiques biodégradables, le petit stylo qu'on enterre dans un pot de fleur et qui disparaît ...) existaient déjà, mais n'ont pas réussi à s'imposer. Aujourd'hui c'est en phase d'être employé couramment. Mais il reste énormément de choses à faire, protéger la couche d'ozone (on en parlait aussi il y a 15 ans mais qu'est qui a réellement été fait ?). La prochaine action a mettre en place est la récupération du méthane contenu dans les fumiers. C'est une source d'énergie incroyable qui est perdu ! De plus, le fumier ainsi traité devient du composte, fertilisant les champs proprement (il réduit la pousse des mauvaises herbes donc réduit le recours aux traitements chimiques).

Nicole

Bonjour.
J'ai 53 ans, et, quand j'en avais 10, en 1963, ma mère, en m'envoyant faire des courses, me donnait un sac en macramé, ou un cabas en toile bâchée, avec des anses tenues par un crochet en métal ("cabas de marché"), ou, pour les bouteilles, un casier métallique avec une anse.
C'est cela qu'il faut re-mettre au goût du jour : de "vrais" sacs, et non pas discuter de sacs bio-dégradables.
Les vrais sacs biodégradables, ils ne sont pas fabriqués, à prix d'or, à partir de maïs, mais d'osier, de métal, de cuir..
NM

dut

J’en lis des vertes et des pas mures ! : J’aimerai rectifier quelques inepties et idées fausses,sur le film plastique qui sert à fabriquer les sacs,et la grande confusion dans l’esprit des néophytes soigneusement entretenue par la sémantique entre recyclable dégradable biodégradable…
Les différences entre film à base végétal et film issus du pétrole ; pour faire simple :
Le film plastique issus du naphta de pétrole transformé par polymérisation c'est-à-dire rendu inerte (sa fabrication n’est pas polluante et non consommatrice d’eau ,ne prend que 2% de la production mondiale de pétrole) ne pollue ni l’air ni l’eau ni le sol , il est 100% recyclable son seul défaut, provoquer une pollution visuel résultante du manque de civisme de nos concitoyens : ses applications sont innombrables ( l’agriculture 8%, le bâtiment 2% , les sacs poubelles 15% les films de conditionnement 20% la sacherie 20% le reste pour les sur emballages , et l’industrie) on sait le rendre biodégradable en y ajoutant des composants chimiques ! Cette filière industrielle emploi plus de 7000 personnes et des milliers d’autres en amont et en aval !
Le plastique issus de matières végétale (que se soit maïs ou fécule …) revient 4 fois plus cher que le plastique classique pour produire la matière première (granule) il faut beaucoup d’eau et mobiliser de grandes étendues de terrain) il n’est pas recyclable, mais seulement biodégradable ensuite son application pour l’instant est limité en terme de solidité de longévité et d’utilité : actuellement il se veut sac prétexte à support de communication c’est un petit débouché de plus pour l’agriculture mais la solution aux problèmes environnementaux n’est pas là !
Que vaut-il mieux : un produit recyclable et biodégradable ou un produit seulement biodégradable Un produit qu’il soit recyclable ou biodégradable ne résout pas le probléme de la pollution liée à l’abandon sauvage …
N’opposons pas environnement et l’économie
Une des conséquences de la disparition des sacs sortie de caisse ( le tonnage mis sur le marché n’a jamais été aussi fort après la disparition des sacs de caisse ) un gain supplémentaire pour la grande distribution, une dépense de plus pour le consommateur sur les sacs poubelles et les sacs payants ( leurs densités ( épaisseurs) étant plus élevées le tonnage à été plus important !

LA FILOCHE

LA FILOCHE
405 364 126 RCS ST ETIENNE

Jean-Luc PEYRET
Magnoloux BP 10
42660 ST GENEST MALIFAUX
FRANCE
0670518966
Tel / fax : 0477390357
[email protected]


OBJET : développement durable, FILETS A PROVISIONS EN COTON



J’ai créé mon entreprise dans le but de proposer une alternative aux personnes qui

distribuent et qui utilisent les sacs plastiques.

Beaucoup de paroles et peu d’alternatives efficaces proposées à la population dans
ce domaine. J ’ai choisi d’agir concrètement et j’ai créer une entreprise de distribution de filets
à provisions. Je travaille avec un fabriquant Français.
L'enseigne de mon engagement et de mon entreprise est L A F I L O C H E .

L’objectif : participer au remplacement radical des sacs plastiques distribués pour
tout achats. Les grandes surfaces les ont remplacés .... par des sacs plastiques payants, et
recommencent discrètement la distribution gratuite.
Je propose comme alternative LA FILOCHE, qui est le filet à provisions que nos
parents utilisaient avec succès avant le plastique. D'une durée de vie de plusieurs années,
100 % coton, LA FILOCHE ne tient pas de place dans une poche, dans le sac à main et
dans le rangement d'un véhicule.
Les commerçants sont demandeur si ont leur propose un contenant lors de nos achats,
ils “ gagnent “ en ne distribuant plus de sacs plastiques et la nature est mille fois gagnante.

La ville de PARIS prend les devant dans cette lutte, elle veut mettre fin à la distribution
des sacs dès cette année 2007, qui génère pour elle 8 000 tonnes de déchets par an. L’interdiction
nationale n’étant prévue que pour 2010.

L’article est vendu par correspondance, courrier ou internet, frais de port en fonction du
nombre d’article commandé. Plusieurs coloris disponibles, noire, jaune, rouge, écru, vert, bleu,
orange, marron, grande capacité,
4,50 € l’unité ttc , de 5 à 15 pièces 3,70 ht plus les fais de port LA POSTE suivant le poids de
l’envoi.
Cordonnées de mon entreprise en haut de page.

Merci de votre attention et de votre engagement concernant le développement durable.

Sincères salutations.

LA FILOCHE

LA FILOCHE
405 364 126 RCS ST ETIENNE

Jean-Luc PEYRET
Magnoloux BP 10
42660 ST GENEST MALIFAUX
FRANCE
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Tel / fax : 0477390357
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OBJET : développement durable, FILETS A PROVISIONS EN COTON



J’ai créé mon entreprise dans le but de proposer une alternative aux personnes qui

distribuent et qui utilisent les sacs plastiques.

Beaucoup de paroles et peu d’alternatives efficaces proposées à la population dans
ce domaine. J ’ai choisi d’agir concrètement et j’ai créer une entreprise de distribution de filets
à provisions. Je travaille avec un fabriquant Français.
L'enseigne de mon engagement et de mon entreprise est L A F I L O C H E .

L’objectif : participer au remplacement radical des sacs plastiques distribués pour
tout achats. Les grandes surfaces les ont remplacés .... par des sacs plastiques payants, et
recommencent discrètement la distribution gratuite.
Je propose comme alternative LA FILOCHE, qui est le filet à provisions que nos
parents utilisaient avec succès avant le plastique. D'une durée de vie de plusieurs années,
100 % coton, LA FILOCHE ne tient pas de place dans une poche, dans le sac à main et
dans le rangement d'un véhicule.
Les commerçants sont demandeur si ont leur propose un contenant lors de nos achats,
ils “ gagnent “ en ne distribuant plus de sacs plastiques et la nature est mille fois gagnante.

La ville de PARIS prend les devant dans cette lutte, elle veut mettre fin à la distribution
des sacs dès cette année 2007, qui génère pour elle 8 000 tonnes de déchets par an. L’interdiction
nationale n’étant prévue que pour 2010.

L’article est vendu par correspondance, courrier ou internet, frais de port en fonction du
nombre d’article commandé. Plusieurs coloris disponibles, noire, jaune, rouge, écru, vert, bleu,
orange, marron, grande capacité,
4,50 € l’unité ttc , de 5 à 15 pièces 3,70 ht plus les fais de port LA POSTE suivant le poids de
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